Le meilleur du talent management pour l'Afrique 🌍 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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#2 – Fintech, technologie & recrutement
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Vous l’aurez remarqué, le parti pris de cette newsletter est de choisir un axe thématique et/ou sectoriel pour chaque numéro. Secteur d’intérêt ou thématique choisis parce que notre équipe y recrute, y a développé une communauté de talents, et qu’elle se nourrit de son actualité. Après la précédente édition dédiée au secteur de l’énergie renouvelable, cette édition met le focus sur le secteur de la fintech en Afrique subsaharienne où les choses bougent indéniablement malgré le paysage contrasté d’un pays à l’autre. Indéniable aussi, la façon dont 2020 a profondément modifié notre façon de travailler et par conséquent de recruter. Télétravail, recrutement à distance et l'intégration de nouveaux outils technologiques pour y parvenir font maintenant partie de notre "new normal". Cela va-t'il durer? Et comment les recruteurs, les employeurs et les candidats peuvent-ils tirer parti de ces transformations plutôt que de les subir ? Je vous propose, dans cette édition, quelques pistes de réflexion, en m'appuyant sur l'intéressante étude de fonds de LinkedIn "The Future of Recruiting - How COVID-19 is transforming hiring", parue au dernier trimestre de l'année dernière. Et puisque cette étude ne concernait que l'Europe et le Moyen Orient, je me suis essayé à transposer ses résultats dans le contexte africain, pour tester, sur mon périmètre d’intervention, ce que cette étude met en exergue. Une fois de plus, et sans surprise, vous verrez que le "one size fits all" nous taille un costume étriqué, et que ce qui est vrai ici peut être bien difficile à appliquer là -bas. Le voici : My African perspective of the 2020 « Covid19 & future of hiring” Linkedin study. Moins claire, en revanche, la logique du secteur du recrutement qui semble courir après le temps, Intelligence Artificielle dans une main et Intelligence Emotionnelle dans l’autre. Union contre nature entre, d’une part, la promesse de l’uniformisation et de la rationalisation des processus et des profils ; et d’autre part la demande croissante de la considération du caractère unique et particulier de chaque individu et talent ?
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Excellente lecture !
Yann Hazoumè
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Business / Secteur
Dans cette section, je vous propose un éclairage ou des news spécifiques des secteurs pour lesquels je recrute régulièrement pour l’Afrique : énergies renouvelables, fintech, digital & télécoms, équipement industriel/automotive, et enseignement & éducation supérieurs privés... Focus, ce mois, sur la fintech et les transferts de fonds : - Historique du secteur
- Evaluation du coup porté par le CoViD-19
- Du rififi dans la bataille des coûts de transfert
- La hausse des investissements dans la fintech orientée Afrique
- La montée de la diversification des services au-delà du transfert : crédit épargne, assurance.
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Comme nous l’avons évoqué dans une section précédente de cette newsletter, 2020 a bien failli porter un coup très dur à la croissance stratosphérique de la fintech et en particulier des services de transfert d’argent vers l’Afrique. Mais cela aurait été sans compter avec l’agilité de ces fintechs et les vertus de la monnaie dématérialisée. Cela est si vrai que Deloitte a réalisé une étude sur les opportunités que les services financiers numériques offrent dans la réponse face au COVID en Afrique. Réalisée en avril 2020, en plein cœur de la crise, l’étude intitulée « Les services financiers numériques une arme de lutte contre la progression du COVID 19 et pour la résilience économique » met l’accent sur plusieurs aspects clef de ces dynamiques. Vous y découvrirez : - comment le rôle encore prépondérant de la monnaie fiduciaire dans les échanges en Afrique constitue un vecteur de transmission du COVID 19,
- comment la Chine a mis la technologie au service de la lutte face au virus,
- le contexte et les réponses contre le COVID 19 de la part des pays d’Afrique francophone,
- et enfin, les trois axes clef par lesquels la monnaie électronique peut réduire les risques de transmission du virus.
Sans plus attendre, je vous invite donc à lire l’étude au complet.
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Question : Yann, je recherche une opportunité, exclusivement pour rentrer en Afrique de l’Ouest. Vu l’importance du réseau personnel quand on cherche sur le continent, est-ce pertinent de se préoccuper de mon profil Linkedin ? Autrement dit les employeurs et les décideurs en font-ils vraiment cas en Afrique ? Tisser des réseaux locaux, c’est vrai, sur le continent Africain, plus qu’ailleurs sans doute, c’est essentiel pour la réussite d’un projet professionnel.
En une quinzaine d’année, j’ai vu ce réseau prendre une grande importance.
L’Afrique avec les plus de 1,4 milliards de connexions mobiles quotidiennes, voit aussi le succès de Linkedin augmenter exponentiellement. Les employeurs africains et en Afrique y sont très actifs.
Mon 1er cabinet de recrutement à l’époque basé à Dakar recrutait, comme beaucoup de ses pairs cabinets de recrutement, aussi sur le Linkedin, pour des postes dans la région. Et je me rappelle que nous nous faisions cette réflexion, que les employeurs ne doivent pas manquer non plus de se faire : avec le caractère public et ouvert d’un profil Linkedin, on est souvent plus proche de la réalité présentée par les profils Linkedin que ce que le CV adressé à l’employeur directement peut dire. C’est un autre argument de taille à considérer dans le choix ou non d’intégrer Linkedin dans sa stratégie de recherche.
Pour moi, c’est en tous cas un oui ! Il est indispensable de travailler aussi son profil Linkedin, et surtout de faire vivre ce profil, d’y être actif c’est-à -dire d’y bâtir son image personnelle : post pertinents sur vos secteurs d’intérêts et commentaires à valeur ajoutée sur les sujets au cœur de votre expertise ; accroissement de votre réseau par des demandes de connections intelligentes et de la contribution aux questions posées par des personnes clés de votre secteur ; membership de groupes thématiques et animation/contribution aux discussions de ces groupes, etc.
Autre exemple pour vous convaincre de la place qu’a pris ce réseau professionnel en Afrique : mon activité de conseil, je l’exerce à plus de 75% avec des interlocuteurs et décideurs basés sur le continent. Près de la moitié des leads qui ont aboutit à des mandats que j’ai signés me sont arrivés par Linkedin et via l’animation de mon réseau sur cette plateforme.
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Ameyah Koffi
J’ai eu le plaisir de rencontrer récemment avec Ameyah Koffi, consultant expert en service financiers, finance digitale, et professionnel du développement commercial et stratégique et de la gestion de centres de profit. Son regard sur le secteur m’a semblé intéressant à partager...
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