Quand Aïda Lucie Ndour, étudiante en informatique a l’EFEI, et organisatrice de la 1ère édition des Hackathons(*) des Étudiants de la Diaspora Africaine, m’a demandé d’être un des facilitateurs de cet événement qui a eu lieu le 7 juin, j’ai immédiatement accepté.
J’ai accepté, et j’ai pris un immense plaisir.
J’ai aussi appris énormément de cette journée: cette méthodologie hackathon, super efficace, utilisées pour les start-up en incubation notamment, et qui a permis d’accoucher plein d’idées dont je ne doute pas qu’on entendra parler bientôt…
Le projet réunissait les associations étudiantes @Efreika, @X-Afrique, ainsi que le média @AfrikaTech et @Orange Business Service, qui a accueilli l’événement et déroulé cette méthodologie pour ce hackathon.
Le but était de réfléchir ensemble à des innovations pouvant valablement participer au développement de l’éducation sur le continent.
Le 1er prix a été remporté par le projet BARA, visant a faciliter l’accès, pour les artisans ruraux, à l’augmentation de leurs métiers par le numérique (réalité augmentée/internet des objets).
Le BARA, Bus pour l’Artisan Augmenté, irait à la rencontre des artisans et apprenants ruraux, pour des formations de 3 à 4 jours, et créerait à terme une communauté auto-apprenante d’artisans africains ruraux « augmentés ».
Bonne route au BARA !
(*) Hackathons: challenges créatifs, regroupant des personnes de competences variées, réunis pas équipes, afin de résoudre une problématique en construisant une solution innovante.